J'aimerais bien avoir ton point de vue sur la primaire socialiste.
En fait non, je te le dis : tu n'as pas du tout envie d'avoir mon point de vue sur la primaire socialiste.

Parce que, déjà, dans un premier temps, et comme je l'ai élégamment répondu à l'ami qui me sollicitait de cette bien étrange manière (oui, ce n'est pas comme s'il ne m'avait jamais vue en train de cracher et de feuler, les griffes fermement plantées dans le plafond à la seule évocation du signe PS), le PS, je m'en bats allègrement les steaks, ainsi que de ce qu'ils peuvent bien raconter dans
cette officine de baltringues et de faux jetons. Je pense même que chaque minute de ma vie dépensée à écouter, parler, commenter ou interagir de quelque manière que ce soit avec un discours du PS est une minute définitivement gâchée pour rien. Parce que je ne me paie pas de discours, parce que depuis 1983, le PS parle par ses actes et c'est d'une manière sans appel : ils sont aussi soumis à la dictature des marchés que les autres en face. Sauf, qu'eux, ils font semblant du contraire et nous promettent le grand soir libérateur par les urnes avant de nous servir des petits matins gueule de bois où la real politik nous tient tous avidement par les burnes.
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