« Mon vieux cerveau me manque. » Nicholas Carr, 52 ans, essayiste américain, n’a rien d’un réac allergique au web. Les nouvelles technologies, au contraire, c’est sa spécialité. Entre son blog, son Twitter, son Facebook, Carr était même un accro.
Pourtant, en 2007, « le serpent du doute s’est inséré dans [son] éden numérique ». Carr avait l’impression désagréable que « quelqu’un ou quelque chose bricolait (…) son cerveau « . Il n’arrivait plus à se concentrer plus de deux minutes sur une seule chose, peinait de plus en plus à lire de longs textes… Partant de ce constat, il a écrit un livre : « Internet rend-il bête ? » (1).
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Pourtant, en 2007, « le serpent du doute s’est inséré dans [son] éden numérique ». Carr avait l’impression désagréable que « quelqu’un ou quelque chose bricolait (…) son cerveau « . Il n’arrivait plus à se concentrer plus de deux minutes sur une seule chose, peinait de plus en plus à lire de longs textes… Partant de ce constat, il a écrit un livre : « Internet rend-il bête ? » (1).
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