C’est en effet la notation de la dette publique française qui sera la prochaine à subir les affres de la dégradation. Comment pourrait-elle encore l’éviter car toute une série de facteurs adverses conspirent en ce sens : de l’endettement qui y atteint des sommets à la compétitivité en constant déclin et à l’aggravation très inquiétante des déficits commerciaux en passant par une croissance inexistante, tous les ingrédients se mettent inéluctablement en place pour une conflagration majeure dès la rentrée ou pour l’automne prochain au plus tard. La question n’étant pas tant de savoir si son AAA lui sera retiré que quand… ?
Saturday, 13 August 2011
Félicitations, vous êtes les prochains !
Le coup de grâce viendra de France :
“Fluctuat nec mergitur” est peut-être la devise de la ville de Paris mais elle ne s’appliquera plus très longtemps à la République Française sur le point de tanguer sévèrement. Depuis le climax de la crise financière survenu à l’automne 2008, nul n’avait pourtant remis sérieusement en question – ne disons pas la solvabilité – mais plutôt la fiabilité des finances françaises… Et pourtant, le prochain choc ne sera pas italien, il ne sera pas plus espagnol, il sera assurément français.
C’est en effet la notation de la dette publique française qui sera la prochaine à subir les affres de la dégradation. Comment pourrait-elle encore l’éviter car toute une série de facteurs adverses conspirent en ce sens : de l’endettement qui y atteint des sommets à la compétitivité en constant déclin et à l’aggravation très inquiétante des déficits commerciaux en passant par une croissance inexistante, tous les ingrédients se mettent inéluctablement en place pour une conflagration majeure dès la rentrée ou pour l’automne prochain au plus tard. La question n’étant pas tant de savoir si son AAA lui sera retiré que quand… ?
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C’est en effet la notation de la dette publique française qui sera la prochaine à subir les affres de la dégradation. Comment pourrait-elle encore l’éviter car toute une série de facteurs adverses conspirent en ce sens : de l’endettement qui y atteint des sommets à la compétitivité en constant déclin et à l’aggravation très inquiétante des déficits commerciaux en passant par une croissance inexistante, tous les ingrédients se mettent inéluctablement en place pour une conflagration majeure dès la rentrée ou pour l’automne prochain au plus tard. La question n’étant pas tant de savoir si son AAA lui sera retiré que quand… ?
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