Tuesday, 30 August 2011

Divorce à la chinoise


chine
Les mariages seraient trop souvent affaires d'argent en Chine. Ou plus exactement, d'appartement. Une jeune fille, dit-on, n'accepte de convoler qu'à condition que son prétendant soit en mesure de fournir un logement au futur couple. 



C'est l'écho d'une tradition plus ancienne, qui veut que la mariée « appartienne » à sa belle-famille, qui l'accueille sous son toit. Or, avec la bulle immobilière, les prix des appartements ont atteint de tels sommets que les économies des parents ne suffisent plus. Il faut très souvent emprunter - au clan, ou à la banque, et souvent aux deux. Que le couple divorce, et les économies d'une vie se retrouvent, au mieux, amputées de moitié. 


C'est que les statistiques du divorce s'emballent : il y avait 17 % de plus de candidats à la séparation en Chine au premier trimestre 2011 qu'en 2010. Et dans près de la moitié des cas, les divorcés ont moins de 35 ans. Des milliers de litiges engorgent les tribunaux - le plus souvent, autour de la question du partage des biens du couple. 


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