L’idéologie actuelle qui justifie les guerres d’agression est fondée sur une dichotomie simpliste entre la démocratie et les dictateurs.
Les gens qui, en Occident, soutiennent les guerres ont déplacé le centre de la loi internationale des Nations unies vers un club bien plus restreint de « démocraties » qui seules possèdent une « légitimité ». Le centre de ce club est le monde anglo-saxon, plus Israël, l’Union Européenne et le Japon.
Cette « communauté internationale » de démocraties est supposée posséder le droit moral unique de décider quand le dirigeant de n’importe quel pays qui se situe en dehors de leur cénacle peut-être dénoncé comme un dictateur et renversé à l’aide d’une campagne de bombardements par l’OTAN.
Les gens qui, en Occident, soutiennent les guerres ont déplacé le centre de la loi internationale des Nations unies vers un club bien plus restreint de « démocraties » qui seules possèdent une « légitimité ». Le centre de ce club est le monde anglo-saxon, plus Israël, l’Union Européenne et le Japon.
Cette « communauté internationale » de démocraties est supposée posséder le droit moral unique de décider quand le dirigeant de n’importe quel pays qui se situe en dehors de leur cénacle peut-être dénoncé comme un dictateur et renversé à l’aide d’une campagne de bombardements par l’OTAN.
Cette idéologie suppose que les démocraties respectent les droits de l’homme, alors que les dictateurs par définition sont des criminels qui violent systématiquement les droits de l’homme et envisagent même un « génocide contre leur propre peuple ». Certains détails, par exemple le fait que les États-Unis ont la plus grande population carcérale au monde à la fois en termes absolus et relatifs, et qu’ils utilisent des prisonniers comme travailleurs bon marché dans leur industrie de l’armement, ne sont pas supposés interférer avec cette vue dualiste du monde.
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