Ce retour n'a aucun sens sur les plans politique et économique. Désormais, il semblerait que la motivation principale des Japonais ne soit plus la chasse elle-même mais une volonté de ne pas jeter l'éponge sous la pression des actions de Sea Shepherd Conservation Society.
Le gouvernement nippon a déclaré qu'il n'était pas dans l'intérêt du pays de céder aux pressions d'une ONG et a ainsi décidé de prêter une vingtaine de millions d'euros supplémentaires à la flotte baleinière afin qu'elle puisse encore améliorer sa sécurité. Déjà endettée à hauteur de cent-cinquante millions d'euros, cette entreprise est un véritable boulet financier pour le peuple japonais.
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