La lucidité est l’observation sans condamnation. La lucidité engendre la compréhension, car elle ne comporte ni condamnation ni identification, mais une observation silencieuse.
Si je veux comprendre quelque chose, je dois évidemment l’observer, je ne dois pas critiquer, je ne dois pas condamner, je ne dois pas le poursuivre comme étant un plaisir ou l’éviter comme étant un déplaisir.
Il faut qu’il y ait simplement la silencieuse observation d’un fait.
Il n’y a pas de but en vue, mais une perception de tout ce qui survient. Cette observation, et la compréhension de cette observation cessent lorsqu’il y a condamnation, identification ou justification.
L’introspection est une amélioration de soi, et par conséquent l’introspection est égocentrique.
Si je veux comprendre quelque chose, je dois évidemment l’observer, je ne dois pas critiquer, je ne dois pas condamner, je ne dois pas le poursuivre comme étant un plaisir ou l’éviter comme étant un déplaisir.
Il faut qu’il y ait simplement la silencieuse observation d’un fait.
Il n’y a pas de but en vue, mais une perception de tout ce qui survient. Cette observation, et la compréhension de cette observation cessent lorsqu’il y a condamnation, identification ou justification.
L’introspection est une amélioration de soi, et par conséquent l’introspection est égocentrique.
La lucidité n’est pas une amélioration de soi.
Au contraire, c’est la fin du moi, du je avec toutes ses idiosyncrasies, ses particularités, ses souvenirs, ses exigences, ses poursuites.
Au contraire, c’est la fin du moi, du je avec toutes ses idiosyncrasies, ses particularités, ses souvenirs, ses exigences, ses poursuites.
Dans l’introspection, il y a identification et condamnation.
Dans la lucidité, il n’y a ni condamnation ni identification ; par conséquent, il n’y a pas d’amélioration du soi : il y a une immense différence entre les deux.
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