Puisque nous sommes sous le régime de l’austérité, le gouvernement a annoncé lundi dernier une nouvelle série de mesures de réduction des dépenses publiques. François Fillon a jugé « raisonnable » d’augmenter la TVA de 5,5% à 7% sur de nombreux produits et services, tout en préservant les biens dits de première nécessité. Quoi de plus injuste que de hausser les impôts indirects, et particulièrement en période de récession économique ? On aurait pu glaner ailleurs ces 1,8 milliards d’euros, au détour d’une taxe sur les transactions financières par exemple… Mais je ne viens pas ce matin sur le fond de la logique qui nous assaille partout en Europe - et ailleurs - visant à faire payer la crise à ceux qui la subissent.
Je veux m’arrêter sur une mesure qui m’apparaît hautement symbolique parce qu’elle touche à un bien de première nécessité pour l’émancipation humaine. La culture n’échappe pas à l’augmentation de 5,5% à 7% du taux de TVA qui touchera, dès le 1er janvier, les livres, les DVD, les séances de cinéma et tout le spectacle vivant.
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Je veux m’arrêter sur une mesure qui m’apparaît hautement symbolique parce qu’elle touche à un bien de première nécessité pour l’émancipation humaine. La culture n’échappe pas à l’augmentation de 5,5% à 7% du taux de TVA qui touchera, dès le 1er janvier, les livres, les DVD, les séances de cinéma et tout le spectacle vivant.
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