Scandale dans les milieux archéologiques ! En 1976, lors de la restauration de la momie de Ramsès II à Paris, on découvre des brins de tabac fossile dans le thorax du pharaon et des traces de cocaïne dans ses narines. Ce n’est pas la première dépouille de roi ou de prêtre de l’ancienne Egypte présentant ces caractéristiques. Mais auparavant, les quantités étaient infinitésimales. Et on les attribuait à une pollution moderne, sans chercher plus loin.
Mais Ramsès II le Grand n’est pas un quelconque roitelet ordinaire. C’est un personnage de légende. Connu du grand public. L’info ne peut être retenue bien longtemps. Les média s’en mêlent. Une polémique s’amorce.
“Impossible !” clame le gratin autoproclamé de l’égyptologie.
“Supercherie !” hurlent les caciques universitaires cooptés.
“Jobardise !” glapissent les arrogants rats de bibliothèques et plus encore leurs disciples autistes, véritables chiens de garde du Dogme.
Jusqu’à ce qu’en 1996 (après vingt ans de réflexion tout de même !) Christiane Desroches-Noblecourt, égyptologue de réputation internationale, confirme les faits.
Cette fois, les cuistres académiques sont le dos au mur. Les sarcasmes et les regards obliques ne les tireront pas d’affaire !
Mais Ramsès II le Grand n’est pas un quelconque roitelet ordinaire. C’est un personnage de légende. Connu du grand public. L’info ne peut être retenue bien longtemps. Les média s’en mêlent. Une polémique s’amorce.
“Impossible !” clame le gratin autoproclamé de l’égyptologie.
“Supercherie !” hurlent les caciques universitaires cooptés.
“Jobardise !” glapissent les arrogants rats de bibliothèques et plus encore leurs disciples autistes, véritables chiens de garde du Dogme.
Jusqu’à ce qu’en 1996 (après vingt ans de réflexion tout de même !) Christiane Desroches-Noblecourt, égyptologue de réputation internationale, confirme les faits.
Cette fois, les cuistres académiques sont le dos au mur. Les sarcasmes et les regards obliques ne les tireront pas d’affaire !
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