L’étiquetage frauduleux des produits de la mer va bon train dans les supermarchés et les restaurants. Bien souvent, le client se voit servir du poisson bon marché en lieu et place de filets coûteux, et il retrouve dans son assiette des espèces menacées par la surpêche qu’on lui présente comme du poisson aux stocks pléthoriques.
La perche du Nil est étiquetée comme du requin. Le mahi-mahi [ou dorade coryphène] est en fait de la sériole. Quant au tilapia, véritable Meryl Streep des poissons, il peut jouer presque n’importe quel rôle.
Des pratiques qui sont mises en évidence par de récentes études menées aux Etats-Unis et en Europe. Ces études font appel aux nouvelles techniques de séquençage de l’ADN. Il en ressort qu’entre 20 et 25 % des produits de la mer ainsi étudiés sont étiquetés frauduleusement.
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