Un an, bientôt. Un an depuis qu'il s'est réveillé un matin en "pissant le sang" et Frédéric n'arrive toujours pas à y croire. Six chimiothérapies, des murs blancs à l'infini, et, à l'âge où l'on bouffe la vie, lui qui doit lutter chaque jour un peu plus. "L'été dernier, à l'institut Bergonié, à Bordeaux, j'ai croisé une dizaine de viticulteurs qui avaient la même maladie que moi... Mais eux n'en parlent pas." Comment y croire, seulement ? Ils se sont tués au travail, et maintenant c'est le travail qui les tue ! Et ce sont ces maudits pesticides, tant vantés hier, qui leur auraient inoculé le poison ?
LIRE la SUITE >>
No comments:
Post a Comment