En 2000, Vincenzo Vinciguerra, ex membre du réseau, résume ainsi leur stratégie : "Nous devions attaquer le peuple, les civils, les femmes, les enfants, des personnes innocentes, loin du jeu politique. La raison était très simple : forcer le public à se tourner vers l’état pour demander plus de sécurité".
Quand il s’agit de faire la lumière sur le réseau Gladio, l’autoroute de l’information se transforme soudain en véritable parcours du combattant. À notre époque où le terrorisme est une préoccupation mondiale, il est particulièrement dérangeant de découvrir que l’Europe de l’Ouest et les États-Unis se sont alliés pour créer des organisations qui se sont par la suite converties au terrorisme. En Amérique, de tels pays sont qualifiés de "sponsors du terrorisme" et sont la cible d’hostilité et de sanctions. Est-il possible que les USA eux-mêmes, la Grande-Bretagne, la France, l’Italie et d’autres méritent tous de figurer sur la liste des États finançant le terrorisme ? Au niveau international, les actions de Gladio étaient coordonnées par le Pentagone et l’OTAN et leur dernière réunion connue se déroula à Bruxelles en octobre 1990. Est ce que ce réseau, sous un autre nom, mais toujours fonctionnel, sous une autre forme, existe t il encore ?
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