Saturday, 30 July 2011

L’heure de vérité



Les expériences en physique quantique depuis un siècle ont teinté la connaissance scientifique d’un principe d’incertitude quant à la nature de la réalité qui nous entoure. Pour l’infiniment petit, comme l’ont montré les expériences désormais célèbre du « 
Chat de Schrödinger » ou de « la fente de Young » c’est l’interférence de l’observateur qui influe sur l’état de la « matière ». Elle semble baigner dans une improbable « potentialité » quantique à la fois ondulatoire et corpusculaire qui ne se détermine que sous l’œil de la conscience : l’observateur brise la fonction d’onde par le simple fait de son observation. 




Il se trouve que la réalité qui nous est visible, est constituée des mêmes « briques » que l’infiniment petit : « ce qui est en bas est comme ce qui est en haut et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ». La séparation des physiques modernes n’est que le résultat de leur impossibilité technique à analyser et à intégrer la nature immanente de la conscience créatrice.


 Comme le dit si bien le philosophe Eckart Tolle :  « La perception directe, de première main, de ce qui est, est le point d’impact de la conscience sur la réalité environnante. Cette perception directe est une observation agissante. Par la neutralité photographique du constat de ce qui est, la lumière de la conscience mute l’illusion en vérité. »

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