"De la fête de l'être suprême à celle de la suprême ineptie, il n'y a qu'un pas que seul un français peut franchir."
Non, ce n'est pas un extrait des mémoires du général De Gaulle, c'est juste ma traduction approximative du "si vis pacem, para bellum" du grand Jules, lorsqu'il s'apprêtait à envahir la Gaule en aéronef.
Bref, tous ceux qui me connaissent n'ignorent rien de ma passion pour la chose et la gente militaire. Je profiterai donc de ce lendemain de 14 juillet pour leur rendre hommage.
Et j'en profite d'autant plus que six d'entre eux viennent de mourir "pour la France", comme l'on dit, au fin fond de l'Afghanistan. Et que du haut de leur paradis des militaires, ils doivent peut-être se demander, à la manière d'Obélix, ce qu'ils sont allés faire dans cette galère.
Oui, je sais, l'histoire de la galère n'est pas d'Obélix, mais de Géronte face aux fourberies de Scapin, mais le 14 juillet étant jour férié, j'ai le droit de tout mélanger.
Et d'abord, je ne mélange pas tant que ça. Obélix, c'est un peu le genre gros crétin râleur, mais qui finit toujours par obéir, un peu comme Géronte. Sauf que Géronte est si près de ses sous que la simple idée de s'acheter une brosse à dents lui donne... mal aux dents, et qu'il faut les fourberies d'un Scapin pour lui délier les cordons de la bourse. Quant à Obélix lui, il ne se lave jamais les dents, il lui suffit de se bouffer deux ou trois sangliers et un raton laveur pour se faire les dents à l'émail diamant.
Ouais, c'est un peu tiré par les cheveux, mon histoire. Mais c'est difficile de faire ouvertement de l'antimilitarisme primaire (et viscéral), en cette époque d'ultra-droitisme où l'on n'a plus le droit de compisser le drapeau, la Marseillaise, ni même de chanter L'Hécatombe de Brassens lorsqu'un poulet passe à côté de vous, et je ne parle même pas d'un juge si vous lui chantez Le Gorille.
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Non, ce n'est pas un extrait des mémoires du général De Gaulle, c'est juste ma traduction approximative du "si vis pacem, para bellum" du grand Jules, lorsqu'il s'apprêtait à envahir la Gaule en aéronef.
Bref, tous ceux qui me connaissent n'ignorent rien de ma passion pour la chose et la gente militaire. Je profiterai donc de ce lendemain de 14 juillet pour leur rendre hommage.
Et j'en profite d'autant plus que six d'entre eux viennent de mourir "pour la France", comme l'on dit, au fin fond de l'Afghanistan. Et que du haut de leur paradis des militaires, ils doivent peut-être se demander, à la manière d'Obélix, ce qu'ils sont allés faire dans cette galère.
Oui, je sais, l'histoire de la galère n'est pas d'Obélix, mais de Géronte face aux fourberies de Scapin, mais le 14 juillet étant jour férié, j'ai le droit de tout mélanger.
Et d'abord, je ne mélange pas tant que ça. Obélix, c'est un peu le genre gros crétin râleur, mais qui finit toujours par obéir, un peu comme Géronte. Sauf que Géronte est si près de ses sous que la simple idée de s'acheter une brosse à dents lui donne... mal aux dents, et qu'il faut les fourberies d'un Scapin pour lui délier les cordons de la bourse. Quant à Obélix lui, il ne se lave jamais les dents, il lui suffit de se bouffer deux ou trois sangliers et un raton laveur pour se faire les dents à l'émail diamant.
Ouais, c'est un peu tiré par les cheveux, mon histoire. Mais c'est difficile de faire ouvertement de l'antimilitarisme primaire (et viscéral), en cette époque d'ultra-droitisme où l'on n'a plus le droit de compisser le drapeau, la Marseillaise, ni même de chanter L'Hécatombe de Brassens lorsqu'un poulet passe à côté de vous, et je ne parle même pas d'un juge si vous lui chantez Le Gorille.
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