Dans son article “L’effondrement de la globalisation” sur le site commondreams.org, le journaliste Chris Hedges conclut que l’emprise de la branche la plus fascisante du monde des affaires, du business pour parler vulgairement, nous conduit pied au plancher à la catastrophe. Et selon lui, à ce rythme là, pas besoin du calendrier Maya.
La litanie des drames quotidiens est la chronique de la mort annoncée de la globalisation : les soulèvements au Moyen Orient, les déchirements en Côte d’Ivoire, le Japon annoncent un monde où les ressources vitales, la nourriture, l’eau, l’emploi et la sécurité, j’ajouterai l’air deviendront rares.
Chômage mondial en pleine explosion, prix des denrées alimentaires en augmentation de 61% depuis 2008 (d’après le FMI), 42 millions d’abonnés, aux Etats Unis, à l’aide alimentaire… cette fois, les émeutes de la faim ne vont pas toucher que les pays dits du sud. D’ailleurs, les marques en « Occident » ont inventé l’inflation fantôme : le prix reste identique, c’est la quantité ou la qualité qui sont réduites. Bref, demain, on se battra pour se nourrir, pour travailler, pour respirer et la prise de conscience démarre dans l’assiette.
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