Tuesday, 11 January 2011

Pluie de... de quoi en fait ???






Pluie de fibres et de particules, quand l'Espagne enquête !
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Certain de ces fils font 10m, en pleine campagne, et on les voit tomber du ciel. Ce ne sont pas des toiles araignée, ou coton ou nylon, à l'oeil nu la différence se voit, au microscope c'est indéniable. Il sont environ 10 fois plus fins qu'un cheveu...
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ça m'a rappelé cette histoire en Indes, vous vous en souvenez ?


Entre le 25 juillet le 23 septembre 2001, une pluie rouge tomba sporadiquement dans la région de Kerala au sud-ouest de l'Inde. D'après certaines sources, cette pluie rouge-sang colore les vêtements en rose et brûle les feuilles des arbres. De la pluie jaune, verte et noire a également été décrite.
De très nombreuses hypothèses ont été avancé pour expliquer cette pluie étrange. Grains de sable ou algues microscopique emportés à haute altitude puis disséminé sur la région, cellules sanguines provenant d'organisme terrestre non identifié, explosion de météorite abritant des microbes extraterrestres ...

2006 : Les biologistes britanniques de deux laboratoires, dont un à l’Université Cardiff, ont fait état dans la presse de leurs premiers résultats, éliminant du coup quelques-unes des hypothèses : oui, il y a bel et bien de l’ADN.

2010 : après 4 ans d'études, les biologistes déposent leurs conclusions : "red rain contains life not seen on Earth " . Wickramasinghe et d'autres publient des affirmations extraordinaires au sujet de ces étranges sortes de globules rouges.
Ils disent clairement, après vérifications, que les cellules récupérées dans les pluies rouges survivent et se reproduisent dans des conditions de température très élevées, et bien au-delà de tout ce que l’on connaît sur terre puisque ces cellules se reproduisent optimalement à 300°C et survivent à 380°C, alors que sur Terre, le maximum serait plutôt 120°C.

Autres particularités, elles n’ont pas d’ADN et métabolisent les hydrocarbures. De plus ces """bactéries""" ont un cycle de vie, ont une physiologie, et sont capables de sporuler (comme le font certaines de nos bactéries terrestres, celles là même que l’ont a amenées sur Mars par erreur). Celles de la pluie rouge de KERALA sont hyperthermophiles, elles n’ont pas de réel ADN, mais a priori elles ont les bases compactes qui permettent à un ADN classique de s’enrouler.
Donc si tout cela est vrai, nous avons entre les mains le chaînon manquant entre ce que nous sommes capables de synthétiser : un coacervat biochimique sans vie et sans patrimoine génétique, simple membrane autoreproductible, et une archéobactérie thermophile à ADN instable comme il en existe encore autour des geysers, sources thermales et cheminées volcaniques sous-marines.
Ce qui créditerait la théorie de la panspermie intergalactique.
Les cellules se reproduisent à une haute température. "Dans ces conditions des filles cellules apparaissent dans les cellules mères d'origine et le nombre de cellules dans les échantillons augmentent avec la durée d'exposition à des hautes températures, disent-les scientifiques. En revanche, les cellules sont inertes à température ambiante. Cela les rend tout à fait inhabituelle, pour dire le moins. Les spores de certaines extrêmophiles ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Extrêmophile ) peuvent survivre à ces sortes de hautes températures et se reproduire à des températures plus basses, mais rien de connu actuellement sur terre ne se comporte comme celles-ci autant que nous le savons actuellement.





Pluie rouge à Kerala
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