L'équipe a ainsi développé une méthode pour compresser les données, les diviser en "chapitre" puis les distribuer dans des cellules bactériologiques, augmentant ainsi la quantité d'informations stockées. Les chercheurs peuvent aussi cartographier l'ADN de la bactérie, facilitant la localisation des données.
Le stockage concerne le texte, mais aussi des images, de la musique et même de la vidéo.
Selon l'équipe, un seul gramme de bactérie peut stocker la somme équivalente de données contenues dans 450 disques durs de 2000 gygabites.
Les chercheurs de Hong Kong ont également conçu un système de sécurité à trois niveaux pour protéger les données stockées.
La technique utilisée consiste à retirer l'ADN des cellules bactériologiques, le manipuler grâce à des enzymes puis le replacer dans une nouvelle cellule. Ces manipulations sont semblables à celles utilisées dans la création d'organismes génétiquement modifiés (OGM). L'ADN replacé dans la nouvelle cellule a été «chargé» d'informations.
Le travail de l'équipe de Hong Kong pourrait ainsi permettre d'ajouter des informations, sous la forme d'un «bio code-barre» sur des végétaux OGM, souligne le Pr Chan.
«On peut pas exemple encoder dans une tomate OGM des informations sur les règles de sécurité» à observer lors de la culture de ces fruits-là, selon le professeur.
Source
Aïe aïe aïe .... frankenstein qui nous annonce qu'ils peuvent mettre ce qu'ils veulent dans une bactérie qui peut être mise n'importe où ? dans une semence ? dans un légume ? dans un vaccin ? dans ta pilule ?
aïe aïe aïe ...
Le stockage concerne le texte, mais aussi des images, de la musique et même de la vidéo.
Selon l'équipe, un seul gramme de bactérie peut stocker la somme équivalente de données contenues dans 450 disques durs de 2000 gygabites.
Les chercheurs de Hong Kong ont également conçu un système de sécurité à trois niveaux pour protéger les données stockées.
La technique utilisée consiste à retirer l'ADN des cellules bactériologiques, le manipuler grâce à des enzymes puis le replacer dans une nouvelle cellule. Ces manipulations sont semblables à celles utilisées dans la création d'organismes génétiquement modifiés (OGM). L'ADN replacé dans la nouvelle cellule a été «chargé» d'informations.
Le travail de l'équipe de Hong Kong pourrait ainsi permettre d'ajouter des informations, sous la forme d'un «bio code-barre» sur des végétaux OGM, souligne le Pr Chan.
«On peut pas exemple encoder dans une tomate OGM des informations sur les règles de sécurité» à observer lors de la culture de ces fruits-là, selon le professeur.
Source
Aïe aïe aïe .... frankenstein qui nous annonce qu'ils peuvent mettre ce qu'ils veulent dans une bactérie qui peut être mise n'importe où ? dans une semence ? dans un légume ? dans un vaccin ? dans ta pilule ?
aïe aïe aïe ...
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