Décidément, les médias ne veulent pas décoincer de cette histoire de neige. De la neige, des perturbations, du froid, des gens qui rouspètent (surtout à Paris) : on se croirait en hiver ! Il est vrai que l'événement d'un Noël Blanc est tout de même incongru. Dans l'image d'Épinal, Noël se déroule toujours sur une plage de sable fin et le Père Noël, habillé d'un slip de bain rouge aux bordures d'hermine blanche, place ses lunettes de soleil avec les gros doigts potelés de sa main gauche dans une abondante coiffure retenue en queue de cheval, un ballon de beach-volley coincé sous son bras droit. Là, patatras, on va devoir sortir les pelles, le sel et les pneus neige. Voilà qui fiche un peu en l'air les bonnes habitudes qu'on avait prises sur les dernières années. Ah non, pas l'année dernière (il a neigé aussi). Ni celle d'avant (il a neigé encore).
Eh oui : à force de brailler au réchauffement climatique, les politiciens ont fini par y croire ! Bilan : désorganisation, merdouillages à tous les étages et atermoiements pathétiques des autorités devant ce qu'il est pourtant convenu d'appeler un phénomène météorologique pas complètement inattendu en hiver dans nos régions. Soit, les quantités sont un peu inhabituelles.
Très, si l'on considère tout le fatras d'hypothèses réchauffistes, et seulement un peu si l'on regarde les données sur les cent dernières années : effectivement, on a des records de chutes ou de froid pour la période, mais désolé de le dire : la neige en décembre, c'est du déjà vu, plusieurs fois, dans l'histoire récente de l'humanité.
Pourtant, on continue à nous bassiner avec ces histoires de réchauffement : le réchauffement est une affaire de climat, qu'on vous dit. Et pour le froid polaire un peu partout, c'est juste de la météo. C'est pourtant simple à comprendre : quand les éléments se déchaînent contre les hypothèses du groupement de politiciens et d'écolos new-age du GIEC, c'est purement météorologique. Et quand il fait chaud quelque part, qu'un iceberg se détache de la banquise, c'est le climat.
Et même lorsqu'il neige en Australie : si, en plein milieu de leur été austral, ils se pèlent les miches, c'est parce qu'il fait de plus en plus chaud. Alors évidemment, on peut comprendre que les prévisions donnent des résultats un peu faux, basées qu'elles sont sur les excellents modèles climatiques qui permettent de prévoir plein de degrés Celsius et de centimètres marins supplémentaires dans 50 ou 100 ans.
Côté politique, c'est l'ahurissement, la consternation, l'incompréhension : personne ne nous avait prévenus, on ne pouvait pas prévoir, il était impossible de s'imaginer qu'il allait neiger en décembre. Cependant ... ce n'est pas tout à fait exact. Il semble même que certains politiciens n'ont pas été totalement pris à revers par cette neige.
Car il apparaît que certains climatologues, qui basent leurs travaux sur une influence prépondérante du soleil, avaient prévu ce qui se passe actuellement avec suffisamment de précision pour qu'on puisse en tirer les conséquences en terme d'organisation.
De mon côté, je vais vous faire quelques prédictions : dans dix ans, le réchauffement climatique anthropique sera oublié ou rangé sagement dans les poubelles de l'histoire des théories fumeuses
Source
Eh oui : à force de brailler au réchauffement climatique, les politiciens ont fini par y croire ! Bilan : désorganisation, merdouillages à tous les étages et atermoiements pathétiques des autorités devant ce qu'il est pourtant convenu d'appeler un phénomène météorologique pas complètement inattendu en hiver dans nos régions. Soit, les quantités sont un peu inhabituelles.
Très, si l'on considère tout le fatras d'hypothèses réchauffistes, et seulement un peu si l'on regarde les données sur les cent dernières années : effectivement, on a des records de chutes ou de froid pour la période, mais désolé de le dire : la neige en décembre, c'est du déjà vu, plusieurs fois, dans l'histoire récente de l'humanité.
Pourtant, on continue à nous bassiner avec ces histoires de réchauffement : le réchauffement est une affaire de climat, qu'on vous dit. Et pour le froid polaire un peu partout, c'est juste de la météo. C'est pourtant simple à comprendre : quand les éléments se déchaînent contre les hypothèses du groupement de politiciens et d'écolos new-age du GIEC, c'est purement météorologique. Et quand il fait chaud quelque part, qu'un iceberg se détache de la banquise, c'est le climat.
Et même lorsqu'il neige en Australie : si, en plein milieu de leur été austral, ils se pèlent les miches, c'est parce qu'il fait de plus en plus chaud. Alors évidemment, on peut comprendre que les prévisions donnent des résultats un peu faux, basées qu'elles sont sur les excellents modèles climatiques qui permettent de prévoir plein de degrés Celsius et de centimètres marins supplémentaires dans 50 ou 100 ans.
Côté politique, c'est l'ahurissement, la consternation, l'incompréhension : personne ne nous avait prévenus, on ne pouvait pas prévoir, il était impossible de s'imaginer qu'il allait neiger en décembre. Cependant ... ce n'est pas tout à fait exact. Il semble même que certains politiciens n'ont pas été totalement pris à revers par cette neige.
Car il apparaît que certains climatologues, qui basent leurs travaux sur une influence prépondérante du soleil, avaient prévu ce qui se passe actuellement avec suffisamment de précision pour qu'on puisse en tirer les conséquences en terme d'organisation.
De mon côté, je vais vous faire quelques prédictions : dans dix ans, le réchauffement climatique anthropique sera oublié ou rangé sagement dans les poubelles de l'histoire des théories fumeuses
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