En effet, la fréquence des mutations au cours du temps permet de connaître l’âge de telle ou telle partie d’un chromosome. Grâce à cela, les tests effectués ont permis de constater que chaque homme semble avoir reçu son chromosome Y d’un ancêtre commun qui aurait vécu il y a 60 à 140.000 ans. Ils sont toutefois tombés sur un os : Albert Perry, un afro-américain de Caroline du Sud décédé il y a quelques années. Celui-ci possédait un chromosome Y inclassable dans la lignée des chromosomes Y connus, rapporte Slate.fr.
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