Wednesday, 18 April 2012
Non, le futur n’est pas la reproduction du passé en pire
Le mot « crise » est sur toutes les lèvres, présent au détour des toutes les analyses... Cette crise omniprésente, qui fut d’abord vue comme courte et provisoire, est aujourd’hui perçue comme devant durer au moins en 2012, et pour la plupart beaucoup plus longtemps.
Mais, parler de « crise », c’est :
- Penser que nous ne vivons qu’un moment transitoire et désagréable,
- Imaginer qu’une maladie est venue troubler notre organisme et qu’il faut la soigner,
- Et finalement croire que le futur sera identique au passé. Serrons les rangs, donnons un bon coup de collier, et tout repartira comme avant, en quelque sorte !
Je crois qu’une telle vue est profondément fausse, et est largement source du désenchantement actuel. En effet, nous ne vivons pas une crise, mais nous nous vivons un processus de transformation : demain ne sera pas du tout comme hier, et, comme une chenille au moment de sa mue en papillon, nous subissons une réorganisation en profondeur de notre monde.
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Chroniques
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