De récents scrutins ou sondages menés en Amérique Latine montrent que l´action des présidents progressistes rencontre un appui croissant de la population - en moyenne de 60 %.
C´est le cas de Rafael Correa, de Cristina Fermandez, de Evo Morales, de Daniel Ortega, de Dilma Roussef ou de Hugo Chavez. Jesse Chacón ausculte les raisons de cette tendance dans le cas du Vénézuéla.
Sans aucun doute, le fait politique fondamental de l’année 2011 au Venezuela fut la maladie du président, qui avait fait prédire à nombre d’analystes une chute de la popularité présidentielle dans une opinion publique qui aurait considéré que Chávez avait perdu sa capacité à gouverner.
Or c’est le contraire qui s’est produit. La situation nouvelle produite par la maladie du président a signifié un renforcement de sa connection et de sa proximité avec la population. L’opinion publique a entouré solidairement un homme qui a su affronter chacun des moments critiques de sa vie, même les plus dramatiques, avec courage et combativité. Mais cela suffit-il à expliquer la popularité actuelle de Chávez ?
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