Saturday, 7 January 2012

Les réseaux sociaux : écosystèmes stériles




Verbatim 1 : Les jardins fermés.
"les écosystèmes fermés de type Facebook ou Apple prennent de plus en plus de place au détriment du web +ouvert+, ils focalisent l'attention et ramènent tout à eux"
Facebook est un écosystème qui ne peut exister que s'il est fermé. Comme Google, il est bâti sur une économie de l'attention, mais à la différence de Google qui ne peut croitre que sur des interactions externes (nombre de sites auxquels il donne accès par exemple), Facebook ne peut croître que sur des interactions internes. Cette fermeture est la condition nécessaire pour pouvoir ensuite "vendre" des collections de profils hyper-segmentés. Facebook n'est naturellement pas le seul écosystème de ce type et il s'inscrit dans ce que Tim Berners Lee appelle les "walled gardens", les "jardins fermés" du web, menaçant ainsi une certaine conception d'un web ouvert. (cf mon billet sur une géopolitique du web)
Verbatim 2 : Effondrement de la valeur symbolique.
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