Merci Michèle :)
[Note perso : depuis le temps que tout le monde sait que la bouffe est empoisonnée, irradiée, ogmée, de contamination en intraçabilité, pourquoi ne pas juste expérimenter le simple plaisir de trifouiller la terre, planter, voir germer, apprendre comment ça marche, avoir la fierté de voir pousser sa bouffe, et même donner le surplus ? dans un monde de plus en plus toxique, un des premiers choix à faire pour résister est de s'assurer que ce qu'on met dans sa gamelle c'est quelque chose de bon pour nous .... ]
[Note perso : depuis le temps que tout le monde sait que la bouffe est empoisonnée, irradiée, ogmée, de contamination en intraçabilité, pourquoi ne pas juste expérimenter le simple plaisir de trifouiller la terre, planter, voir germer, apprendre comment ça marche, avoir la fierté de voir pousser sa bouffe, et même donner le surplus ? dans un monde de plus en plus toxique, un des premiers choix à faire pour résister est de s'assurer que ce qu'on met dans sa gamelle c'est quelque chose de bon pour nous .... ]

Les initiatives se sont multipliées : jardins partagés comme à Paris ou à Montréal, circuits courts et paniers paysans qui font le bonheur des urbains, productions urbaines : de vin, comme le Bellet sur les hauteurs de Nice, ou de miel « béton ». Mais ces « innovations » sont-elles de véritables alternatives pour l’avenir ou ne sont-elles que de simples caprices de « bobos » ? Cette agriculture urbaine est-elle réellement nourricière, induite par une contrainte économique, ou n’est-elle pas plutôt porteuse de valeurs sociales et d’esthétique, par ses qualités paysagères et les opportunités qu’elle offre en matière de vivre-ensemble ?
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