Il faudrait remonter loin dans le temps, sans doute à l’époque où les organisations syndicales et politiques n’étaient pas encore formées, pour trouver un État aussi complaisant aux riches et aux puissants, aussi dur aux faibles et aux isolés.
(…) Dans sa quête du «marché parfait», le libéralisme économique présuppose que le seul moteur de la vie économique et sociale demeure le profit; ce qui est bon pour l’entreprise serait nécessairement bénéfique pour la société.
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