Un pâtissier franco-libanais venu chercher amour et fortune à Montréal s'est acheté un gilet pare-balles, a embauché un garde du corps et installé huit caméras de sécurité au-dessus de ses vitrines pleines de croissants et sablés: il avait refusé de payer la "taxe de sécurité" demandée par la criminalité organisée.
A côté de la "grande corruption" impliquant entreprises, partis politiques et mafieux, dévoilée depuis des mois par une commission d'enquête, il existe au Québec une zone d'ombre de même nature qui touche les petits commerçants et artisans.
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