Roy me regarde avec l’œil électrique des prolétaires anglais dans les films inquiétants. C’est qu’il a bu.
Il me parle de la fin du monde. C’est pour bientôt. Je le crois sur parole. Avec le gaz de shit et l’exploitation du sous-sol, nous allons disparaître. Les Américains en premier bien sûr, en conduisant leurs grosses voitures. En décembre 2012, nous partirons. Ou après, les calendriers Incas et Mayas divergent. Et dix verges, comme disait le maître, c’est énorme.
J’imagine le jour d’après. Le premier jour de la disparition de la moindre trace humaine.
LIRE la SUITE >>
No comments:
Post a Comment