Puis il m’entraîna dans une pièce attenante, remplie de plantes et de flacons qui laissaient transparaître d’autres plantes macérant dans des liquides de couleur différentes. Ce devait être son laboratoire.
Don Manuel Cordoba était grand, énorme, avait les cheveux courts et les yeux bleus ; il me faisait penser à mon père. Son franc-parler, sans ambages, sa façon de raconter toujours des anecdotes, de rire à tout propos contrastaient avec son regard ; il y avait quelque chose dans ses yeux que je ne devais retrouver que bien des années plus tard, dans ceux de certains guérisseurs, au Mexique.
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