Saturday, 31 March 2012

Pitoyable fin de partie


Lors de la campagne 2007, les choses s’étaient déroulées de manière plutôt linéaire. Dans un premier temps, et dès 2005, les médias avaient placé Ségolène Royal sur un piédestal, ne laissant aucune chance à des adversaires (DSK et Fabius) médusés que celle qu’ils prenaient pour une demeurée puisse les surclasser. Puis, vers la fin 2006 et le début 2007, les mêmes qui l’avaient choisie avaient entrepris de la démolir méthodiquement, bien aidés en cela par ses “camarades” socialistes, pour laisser le champ libre à celui qu’ils avaient choisi depuis le début : Sarkozy.
Pour 2012, c’est plus tortueux. 
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