Dix-sept heures de travail quotidien obligatoires pour 2 cent de l’heure, des détenus armés par l’administration pour assurer la « surveillance », des viols systématiques organisés par des détenus sur les « fresh fishes », les prisonniers les plus jeunes... Au début des années 1970, la prison « Angola », en Louisiane, figure parmi les plus inhumaines des États-Unis.Parmi les détenus, 3 jeunes noirs enfermés pour des affaires de vol à main armée, Herman Wallace, Albert Woodfox et Robert King, commencent à se faire remarquer en revendiquant des droits.
Dans une Amérique en pleines tensions sociales, ces proches des Black Panthers deviennent des « cibles » de l’administration pénitentiaire, raconte Robert King, de passage en France pour témoigner aux côtés d’Amnesty International.
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