Ainsi, la concentration d’hydrogène a augmenté au sein du réacteur n°1 après le séisme du 7 décembre, un phénomène dont l’origine est attribuée au « craquage » de l’eau au contact du corium, qui libère de l’hydrogène et de l’oxygène ; ou 1.300 mètres cubes d’eau contaminée se sont comme évanouis du réacteur n°2 en l’espace de 7 jours, résultat de ruptures présumées de tuyauteries reliant le réacteur et le tore (l’anneau de dépressurisation) dans une zone où pourrait se trouver le corium, que l’envoi d’un robot d’observation n’a pas permis de confirmer.
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