Assise sur des réserves de change de plus de 2500 milliards de dollars (l’équivalent de toute la richesse de la France), elle est partie sans complexe à l’assaut du monde. Et rien ni personne ne lui résiste. Cette stratégie a un nom : zouchuqu, ce qui signifie « sortir des frontières », partir à la conquête des marchés internationaux.
Depuis 2000, les investissements chinois à l’étranger ont été multipliés par vingt. Une boulimie sans limite géographique ni sectorielle : terres agricoles et minières en Afrique et maintenant en Amérique du Sud, entreprises aux États-Unis et en Europe, infrastructures (ports, routes, aéroports…) un peu partout, dettes souveraines… Rien n’échappe à la fringale des héritiers de Mao. Le Figaro
Bon ! On est tous un peu ignare…
Une fois le lecteur entré dans l’article, il va falloir continuer… Le titre, c’est l’hameçon…
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