Les fêtes de villages, les fêtes des saints locaux, les fêtes des corporations : ça n’arrêtait pas. Bref, on travaillait moins d’un jour sur deux. Même les paysans ne trimaient pas à longueur d’année. L’été oui, du lever au coucher du soleil ; mais dès les premiers frimas, c’est... tranquille au coin du feu, on bricole à droite à gauche, mais on ne met plus les pieds au champ.
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