
En 2003, dans “Escadrons de la mort, l’école française”, Marie-Monique Robin racontait comment la France, à partir de la fin des années 50, fit profiter la junte argentine de ses méthodes de torture et de répression expérimentées en Indochine et en Algérie. Son film étant considéré comme pièce à conviction, la journaliste était citée à comparaître en février lors de procès contre des anciens tortionnaires. Nous l’avons accompagnée.
C’est la seconde fois que la Française comparaît dans l’un des procès qui, ces dernières années, se sont ouverts dans toute l’Argentine.
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