La sensualité de son corps dans cette danse endiablée face au tambour, ses mains qui s’entremêlent, son écharpe rouge vif qui tourbillonne, et soudain une pose langoureuse avant de reprendre de plus belle sa transe…
L’objet de tous les regards n’est pas une femme. Ni un homme. C’est une hijra.
Et les frontières des genres se troublent en observant cet être danser poitrine en avant, en sari et à la mâchoire carrée. «Elles ont un corps d’homme mais une âme féminine», résume Shashi Bushan, défenseur des LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuels et Transsexuels) à l’association Naz foundation, pour tenter de définir les centaines de milliers d’hijras vivant en Inde, dont plus de 20.000 à New Delhi, la capitale.
Bienvenue dans un genre à part entière..
LIRE la SUITE >>
No comments:
Post a Comment