
"J'ai eu le déclic après une série de reportages sur les ravages de la production de coton sur l'environnement en Chine", explique ce Toulousain de 28 ans, informaticien dans le secteur spatial. "Je n'ai jamais été militant mais, là, je le deviens en agissant. "
Claire Nahoun, elle, a eu une"révélation l'hiver dernier", se souvient-elle. "Un soir, mon fils, qui travaille en alternance dans un magasin de jouets, m'a dit que 80 % de ce que je possédais était fabriqué en Chine. Cela m'a piquée au vif", explique cette quinqua, assistante dans un cabinet d'avocats parisiens.
"Depuis j'épluche les étiquettes et j'ai des surprises, comme de grandes marques de vêtements made in China. Je suis pour la mondialisation mais désormais, j'oriente mes achats."
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